TLDR : l’essentiel à retenir
Le référencement d’une marque de boisson en 2026 repose sur deux piliers complémentaires : le SEO classique (optimisation pour Google) et le GEO (Generative Engine Optimization), c’est-à-dire le référencement sur les intelligences artificielles comme ChatGPT, Claude ou Perplexity.
Pour réussir, une marque doit d’abord construire une stratégie de contenu qui dépasse la simple fiche produit en répondant aux intentions de recherche réelles des consommateurs. L’architecture du site doit s’organiser autour de cocons sémantiques cohérents, soutenus par un maillage interne intelligent qui guide le lecteur vers l’achat sans agressivité.
L’autorité du domaine se construit progressivement via des backlinks naturels obtenus par des partenariats éditoriaux, des passages médias et des relations presse.
Côté GEO, les IA privilégient les contenus faciles à lire, structurés, qui répondent précisément à des questions de longue traîne. Mettre un résumé en début d’article et structurer ses pages avec des titres clairs augmente significativement les chances d’être cité par ChatGPT.
Les plateformes comme LinkedIn (via ses articles) et YouTube constituent également des leviers puissants pour multiplier les points d’entrée vers votre marque.
Introduction
Posséder un site web ne suffit plus. En 2026, la visibilité d’une marque de boisson se joue sur deux terrains distincts mais interconnectés : les moteurs de recherche traditionnels et les IA conversationnelles. Cette réalité transforme profondément la manière dont les producteurs de bières, vins, spiritueux et boissons sans alcool doivent concevoir leur présence numérique.
Le constat est simple : trop de marques se contentent de publier leurs fiches techniques ou d’annoncer leur présence au prochain salon professionnel. Ces contenus n’intéressent ni Google, ni les consommateurs qui cherchent à comprendre, comparer ou s’inspirer avant d’acheter. La vraie question devient alors : comment structurer son contenu pour apparaître à la fois dans les résultats de recherche Google et dans les recommandations de ChatGPT ?
Cet article synthétise les enseignements clés partagés par Luca Fancello, expert SEO et co-fondateur de la plateforme GEO Qwairy, lors de l’épisode 67 du podcast SuperPotion™. Au programme : les fondations du référencement naturel appliquées à la filière boisson, puis la transition vers les nouvelles opportunités offertes par les IA génératives.
Partie 1 : Les fondations SEO pour une marque de boisson
Au-delà de la fiche produit : construire une vraie stratégie de contenu
Le blog d’une marque de boisson ne devrait jamais se résumer à un journal interne. Publier uniquement des actualités de l’entreprise — présence au salon Vinexpo stand 45, nouvelle médaille obtenue, visite de la distillerie — ne génère pas vraiment de trafic qualifié. Google n’indexe pas correctement ces contenus parce qu’ils ne répondent à aucune requête formulée par les internautes.
L’exemple d’Hysope, marque de tonic française, illustre parfaitement ce principe. La page la plus visitée de leur site n’est pas la page d’accueil ni une fiche produit : c’est un article sur les bienfaits de la quinine. Cette approche éditoriale permet d’attirer des visiteurs qui s’intéressent au sujet de manière large, puis de les orienter vers le produit.
Pour une marque de gin français, par exemple, la stratégie consisterait à créer deux types de pages complémentaires :
- Une page e-commerce optimisée pour la requête « acheter gin français » qui présente le produit avec un contexte rédactionnel suffisant
- Un article de blog ciblant « comment faire un gin tonic » qui apporte de la valeur informative et renvoie naturellement vers le produit

Cette distinction repose sur ce que les professionnels du référencement appellent l’intention de recherche. Une personne qui tape « acheter gin français » a une intention transactionnelle : elle veut comparer et acheter. Une personne qui cherche « comment faire un gin tonic » a une intention informationnelle : elle veut apprendre une recette. Les deux requêtes nécessitent des contenus différents, mais les deux peuvent mener à la conversion.
Comprendre l’intention de recherche pour mieux cibler
L’analyse des intentions de recherche constitue le socle de toute stratégie de contenu efficace. Quand on observe les résultats Google pour une requête donnée, on comprend immédiatement ce que l’algorithme attend :
- Pour « acheter gin français », les premiers résultats sont des pages e-commerce proposant plusieurs références avec du texte contextuel
- Pour « comment faire un gin tonic », les résultats sont des articles de recettes sur des sites lifestyle, parfois accompagnés de vidéos YouTube
Cette observation révèle une opportunité pour les marques de boisson. Fever-Tree, le tonic le plus connu, se positionne en bonne place sur la requête « comment faire un gin tonic » avec une page dédiée. Une marque de gin pourrait créer un contenu similaire et ainsi capter du trafic qualifié.
La méthode média que préconisent les experts SEO contemporains dépasse la simple optimisation de requêtes isolées. L’objectif consiste à créer un véritable média qui bénéficie aux lecteurs en abordant tous les sujets connexes au produit. Chaque contenu publié en format blog peut ensuite être transformé en vidéo YouTube, en post LinkedIn, en newsletter. Cette approche multicanale multiplie les points de contact avec l’audience potentielle.
Le cocon sémantique : organiser ses pages pour devenir une autorité
Le terme « cocon sémantique » peut sembler technique, mais le concept est relativement simple. Il s’agit d’organiser les pages d’un site selon une logique thématique cohérente pour démontrer à Google une expertise approfondie sur un sujet donné.
Le concept a été formalisé par Laurent Bourrelly, un référenceur français, tandis que les anglophones utilisent le terme « topic cluster » popularisé par HubSpot. Les deux approches partagent un principe commun : regrouper des contenus autour d’un thème central et les relier entre eux de manière logique.
Pour une marque de whisky, l’architecture idéale du contenu pourrait ressembler à ceci :
Page pilier centrale : « Le whisky : guide complet »
Pages satellites thématiques :
- Histoire et origines du whisky
- Les différentes régions de production (Écosse, Irlande, Japon, France)
- Comment déguster un whisky
- Les accords mets-whisky
- Glossaire du whisky (single malt, blend, tourbé…)
- Comparatif des meilleurs whiskies français
Chaque page satellite traite un aspect spécifique du sujet et renvoie vers la page pilier ainsi que vers les autres pages pertinentes du cocon. Cette structure permet à Google de comprendre que le site possède une expertise globale sur le whisky, pas uniquement sur un aspect isolé.
Le blog Brew Nation, créé par Luca Fancello pour la bière artisanale, illustre cette approche. Le site couvre aussi bien les tireuses à bière que les styles IPA, les formations en biérologie ou les marques de bières. Cette couverture thématique large, mais cohérente, renforce l’autorité du site sur l’ensemble du sujet « bière ».
Le maillage interne : relier intelligemment ses contenus
Une fois les contenus créés, le maillage interne devient crucial. Il s’agit des liens qui relient les pages entre elles au sein d’un même site. Ce maillage remplit deux fonctions essentielles :
- Pour Google : les liens internes transmettent ce qu’on appelle le « jus SEO » d’une page à l’autre. Une page qui reçoit beaucoup de liens internes gagne en importance aux yeux de l’algorithme.
2. Pour le lecteur : les liens guident naturellement le visiteur vers des contenus complémentaires ou vers les pages de conversion (boutique, contact, réservation).
La subtilité réside dans l’équilibre à trouver. Renvoyer systématiquement vers la boutique à chaque paragraphe crée une expérience désagréable et peut être perçu comme agressif. L’approche recommandée consiste à intégrer les liens de manière contextuelle, quand ils apportent une vraie valeur au lecteur.
Par exemple, dans un article sur les accords entre bières artisanales et fromages, mentionner naturellement une bière de la gamme avec un lien vers sa fiche produit paraît logique. En revanche, interrompre un paragraphe technique pour insérer un lien promotionnel sans rapport direct avec le sujet nuit à la crédibilité du contenu.
Les tableaux récapitulatifs en début d’article constituent une pratique efficace pour le référencement et l’expérience utilisateur. Ils permettent aux lecteurs pressés de trouver immédiatement l’information recherchée tout en structurant le contenu de manière lisible pour les robots de Google et les IA.
Construire son autorité grâce aux backlinks
Le contenu de qualité ne suffit pas toujours pour atteindre la première page de Google. L’algorithme prend également en compte l’autorité du domaine, mesurée notamment par les liens entrants provenant d’autres sites web : les fameux backlinks.
Pour une jeune marque de boisson, obtenir ces premiers backlinks représente un défi. Plusieurs approches permettent d’y parvenir de manière naturelle et éthique :
Les relations presse et médias
Un article dans un magazine spécialisé comme Rayon Boissons, une interview sur un site gastronomique, une mention dans un guide de recommandations génèrent des backlinks de qualité. Ces liens proviennent de sites reconnus dans le secteur, ce qui leur confère une valeur supérieure aux yeux de Google.
Les partenariats éditoriaux
Écrire un article invité sur le blog d’un partenaire (caviste, restaurateur, importateur) permet d’obtenir un lien retour naturel. L’article doit apporter une vraie valeur au lecteur du site partenaire, pas simplement servir de prétexte à l’obtention d’un lien.
Les podcasts et interviews
Participer à des podcasts comme SuperPotion™ génère plusieurs liens depuis les notes de l’épisode, la vidéo Youtube et l’article de blog vers le site de l’invité. Ces opportunités permettent également de toucher une nouvelle audience qualifiée.
Les événements et collaborations
Organiser un événement avec d’autres acteurs de la filière (dégustation croisée, masterclass commune) crée des opportunités de mentions croisées sur les sites respectifs des participants.
L’approche moderne du netlinking privilégie la qualité des liens à leur quantité. Un seul lien provenant d’un site reconnu et pertinent vaut mieux que dix liens de sites sans rapport avec l’univers de la boisson. Les pratiques d’achat massif de liens sont non seulement déconseillées mais peuvent entraîner des pénalités de la part de Google.
Cas pratique : les trois actions SEO prioritaires pour une nouvelle marque
Pour résumer cette première partie consacrée au SEO classique, voici les trois actions prioritaires qu’une nouvelle marque de boisson devrait mettre en place :
1. Identifier les requêtes pertinentes et créer du contenu ciblé
Utiliser des outils comme Google Search Console, Semrush ou Ahrefs pour identifier les requêtes que les consommateurs tapent réellement. Créer ensuite des pages qui répondent précisément à ces requêtes, en distinguant les intentions informationnelles (articles de blog) des intentions transactionnelles (pages produits).
2. Structurer le site en cocons sémantiques cohérents
Organiser l’architecture du contenu autour de thématiques logiques. Chaque cocon doit comporter une page pilier complète et des pages satellites qui approfondissent des aspects spécifiques. Le maillage interne doit relier ces pages de manière naturelle.
3. Travailler sa présence sur d’autres plateformes
Ne pas se limiter au site web. Créer des articles LinkedIn qui peuvent bien se positionner sur Google (particulièrement utile pour les jeunes marques dont le site n’a pas encore d’autorité). Développer une chaîne YouTube si les ressources le permettent. Ces présences externes renforcent la visibilité globale et génèrent des backlinks naturels.
Partie 2 : Le GEO, nouveau terrain de jeu des marques de boisson
Qu’est-ce que le GEO et pourquoi s’y intéresser ?
Le GEO, pour Generative Engine Optimization, désigne l’ensemble des pratiques visant à optimiser la visibilité d’une marque dans les réponses des intelligences artificielles conversationnelles : ChatGPT, Claude, Perplexity, ou encore les AI Overviews de Google.
Ce nouveau champ du référencement émerge d’un constat simple : de plus en plus d’internautes posent leurs questions directement aux IA plutôt que de taper une requête dans un moteur de recherche traditionnel. Quand quelqu’un demande à ChatGPT « Quelles sont les meilleures marques de gin français ? », l’IA va compiler des informations issues de différentes sources pour formuler sa réponse. Être cité dans cette réponse représente une opportunité de visibilité considérable.
La particularité du GEO réside dans son fonctionnement hybride. ChatGPT, par exemple, dispose d’une base de connaissances issue de son entraînement, mais active aussi régulièrement une recherche web pour compléter ou vérifier ses informations. Quand l’IA cherche sur le web, elle tape des requêtes similaires à celles d’un humain et analyse les premiers résultats (mais ne voit pas les pages en entier). Un bon positionnement SEO facilite donc également le référencement GEO.
Comment les IA sélectionnent leurs sources
L’observation des réponses générées par ChatGPT et ses concurrents permet d’identifier plusieurs patterns récurrents dans la sélection des sources :
Privilège aux contenus structurés
Les IA apprécient les contenus faciles à parser : titres hiérarchisés (H2, H3), paragraphes courts, listes à puces, tableaux récapitulatifs. Un article bien structuré sera plus facilement compris et cité qu’un long texte dense sans organisation claire.
Importance du début et de la fin du contenu
Des études et brevets déposés suggèrent que les IA accordent plus d’attention au début et à la fin des pages qu’au contenu central. Placer un résumé synthétique en introduction d’article (comme le TLDR de cet article) augmente significativement les chances d’être cité. L’IA peut extraire rapidement l’information essentielle sans parcourir l’intégralité du texte.
Préférence pour les réponses précises à des questions spécifiques
Les contenus qui répondent précisément à des questions de longue traîne performent particulièrement bien. Quand ChatGPT cherche une information spécifique, il formule une requête précise. Un article intitulé « Les 10 meilleures alternatives françaises aux boissons alcoolisées » répondra mieux à cette logique qu’un contenu généraliste sur les tendances du marché.
Valorisation des sources faisant autorité
Wikipédia, les grands médias (type Les Échos), les sites institutionnels apparaissent fréquemment dans les citations des IA. Pour une marque de boisson, être mentionné sur ces plateformes renforce sa crédibilité auprès des algorithmes.
Stratégies concrètes pour améliorer sa visibilité GEO
Analyser les sources citées par les IA
La première étape consiste à interroger ChatGPT sur des requêtes pertinentes pour son activité et observer les sources citées. Par exemple, taper « Quelles sont les meilleures agences de design de boissons en France ? » permet de voir qui ressort et pourquoi. Les sources identifiées constituent autant de cibles potentielles pour obtenir des mentions ou des backlinks.

Créer du contenu de type liste et comparatif
Les articles comparatifs (« 10 gins français à découvrir », « Comparatif des meilleures tireuses à bière ») sont particulièrement bien adaptés au format de réponse des IA. Ils structurent l’information de manière facilement exploitable et répondent à des intentions de recherche fréquentes.
Multiplier les points de présence
Les IA puisent dans de nombreuses sources différentes. Une marque présente uniquement sur son site web aura moins de chances d’être citée qu’une marque mentionnée également sur des blogs spécialisés, des vidéos YouTube, des articles LinkedIn, des interviews podcast. Cette présence multicanale augmente la probabilité que l’IA rencontre la marque lors de ses recherches.
Traduire ses contenus clés en anglais
Les modèles de langage sont majoritairement entraînés sur des données anglophones. Un article en anglais sur les tendances boissons 2025 aura potentiellement plus de portée internationale qu’un contenu uniquement francophone. Pour les marques qui visent l’export, cette traduction représente un investissement pertinent.

L’outil Qwairy : monitorer sa visibilité sur les IA
La plateforme Qwairy, développée par Luca Fancello, permet de suivre le positionnement d’une marque sur les différents modèles d’IA. L’outil analyse les réponses de ChatGPT, Perplexity et d’autres LLM pour des requêtes définies par l’utilisateur, et identifie :
- Le taux de mention de la marque (combien de fois elle est citée)
- Le taux de citation des sources (combien de fois le site est linké)
- Les concurrents les plus visibles sur les mêmes requêtes
- Les opportunités de contenu à créer pour améliorer sa visibilité
Ce type d’outil devient indispensable pour les marques qui souhaitent mesurer et optimiser leur présence GEO de manière structurée.

YouTube et LinkedIn : des alliés sous-estimés
YouTube : le deuxième moteur de recherche mondial
YouTube appartient à Google et bénéficie d’un traitement privilégié dans les résultats de recherche. Pour de nombreuses requêtes, des vidéos apparaissent directement dans la page de résultats Google, offrant une visibilité supplémentaire.
Pour une marque de boisson, créer une chaîne YouTube représente un investissement conséquent mais potentiellement très rentable. La barrière à l’entrée (nécessité de se mettre devant la caméra, qualité de production) limite la concurrence. Les marques qui franchissent ce cap créent une connexion émotionnelle forte avec leur audience, ce que les professionnels appellent une « relation parasociale ».
Les formats vidéo particulièrement adaptés aux marques de boisson incluent :
- Les tutoriels de cocktails et d’accords
- Les visites de production (brasserie, distillerie, chai)
- Les interviews d’experts et de producteurs
- Les comparatifs et dégustations commentées
LinkedIn : une opportunité éditoriale méconnue
LinkedIn propose deux formats de publication : les posts classiques et les articles longs. Les articles LinkedIn se positionnent parfois très bien sur Google, surtout pour les jeunes marques dont le site n’a pas encore acquis d’autorité.
Cette stratégie présente un avantage notable : un article publié sur LinkedIn et sur son propre blog peut voir la version LinkedIn mieux classée dans les résultats de recherche, au moins temporairement. Pour une marque qui démarre, c’est un moyen de générer du trafic qualifié sans attendre que son site gagne en autorité.
Les articles LinkedIn permettent également de toucher une audience professionnelle : restaurateurs, cavistes, distributeurs, journalistes spécialisés. Cette visibilité B2B peut générer des opportunités de référencement et de partenariats commerciaux.
Conclusion : une approche intégrée SEO + GEO
Le référencement d’une marque de boisson en 2026 ne peut plus se limiter à l’optimisation pour Google. L’émergence des IA conversationnelles comme canal de découverte oblige les professionnels à repenser leur stratégie de visibilité numérique.
La bonne nouvelle, c’est que les fondamentaux restent les mêmes : créer du contenu de qualité qui répond aux questions réelles des consommateurs, structurer ce contenu de manière logique et accessible, construire progressivement son autorité par des partenariats éditoriaux pertinents. Ces pratiques servent aussi bien le SEO classique que le GEO.
Les marques qui réussiront leur transition vers ce nouveau paradigme seront celles qui adoptent une vision média de leur présence en ligne. Plutôt que de considérer leur site comme une simple vitrine, elles le transforment en ressource incontournable sur leur thématique. Elles multiplient les points de contact avec leur audience (site, blog, YouTube, LinkedIn, podcasts) et créent des contenus pensés pour être facilement exploitables par les humains comme par les machines.
Le temps où il suffisait d’avoir un bon produit pour réussir est révolu. Dans un marché saturé d’offres de qualité, la visibilité devient un avantage compétitif décisif. Les producteurs qui investissent aujourd’hui dans leur référencement, qu’il soit classique ou générique, construisent les fondations de leur succès commercial de demain.
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Cet article est basé sur l’épisode 67 du podcast SuperPotion™, animé par Ludovic Mornand. L’invité Luca Fancello est consultant SEO, co-host du podcast Position 0, fondateur du blog BrewNation et co-fondateur de l’outil GEO Qwairy.
FAQ : réponses aux questions fréquentes
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Ludovic Mornand
PODCASTER & BOSS FINAL
Ludovic est le fondateur et directeur de Studio Blackthorns et SuperPotion™. Il anime les émissions SuperPotion™, The Bottlefield Show et 1000 Hectos, toutes les trois spécialisées dans le secteur de la boisson.
« À travers ce podcast, à la fois fun et enrichissant, j’ai souhaité marquer mon empreinte d’expert dans le secteur de la boisson alcoolisée et non-alcoolisée en invitant des professionnels de l’industrie : brasseurs, distillateurs, vignerons, cavistes, journalistes. Mon but est d’apporter de l’inspiration à ces acteurs de la filière Potions pour les aider à sans cesse se renouveler. C’est ainsi qu’est né le podcast SuperPotion™, une émission divertissante et empreinte de nostalgie pop-culture pour les années 90s. SuperPotion, un élixir d’innovation pour sublimer toutes vos boissons ! »